Le contrat civil fera ce qu’il faut pour stopper le processus de censure avec quelques députés, car après cela, l’opposition ne pourra pas obtenir destitution. Après quelques jours de manifestations dans la rue, elle annoncera son retour au Parlement avec « leur propre agenda ». Nous avons déjà vu ce scénario à plusieurs reprises.
Le journaliste Narek Kirakosyan a eu un entretien en tête-à-tête avec Aram Sargsyan, président du parti « République » et ancien Premier ministre de la République d’Arménie.
Aram Sargsyan a souligné que la démarcation des frontières se fera d’une manière ou d’une autre pour régler les relations sans recourir à la guerre et commencer une vie pacifique. Actuellement, la situation à Voskepar et Baghanis est stable. Les problèmes sont principalement liés aux Kirants, où quelques bâtiments passeront en Azerbaïdjan. Le gouvernement prévoit une compensation adéquate pour ces bâtiments.
Aram Sargsyan a également abordé les discussions en cours à Erevan, soulignant que l’objectif est plus politique que lié à Tavush. Il a évoqué le choix civilisationnel entre l’Europe et la Russie, mettant en garde contre les conséquences d’un rapprochement avec la Russie.
Il a souligné que la société comprend la situation actuelle et reste en retrait, soulignant l’importance de la participation citoyenne dans les choix politiques.
Aram Sargsyan a également ajouté qu’il serait bien qu’un referendum ait lieu en Arménie sur la question de la demande d’adhésion à l’UE, afin qu’il soit clair pour tout le monde que la majorité du peuple est en faveur de l’Europe.