Les interruptions artificielles de grossesse en raison du sexe de l’enfant continuent de poser des défis importants en matière de droits humains. Anahit Manasyan souligne que cette pratique, bien que souvent cachée, a des répercussions profondes sur la société et sur les droits des femmes.
Dans de nombreuses cultures, la préférence pour un sexe particulier peut conduire à des décisions qui compromettent la santé et le bien-être des femmes. Les conséquences de ces choix peuvent être dévastatrices, non seulement pour les femmes concernées, mais aussi pour l’équilibre démographique et social des communautés.
Il est essentiel de sensibiliser le public et de mettre en œuvre des politiques qui protègent les droits des femmes tout en luttant contre les discriminations basées sur le sexe. Les gouvernements et les organisations non gouvernementales doivent collaborer pour aborder cette question complexe et trouver des solutions durables.
En conclusion, les interruptions de grossesse liées au sexe ne sont pas seulement une question de santé reproductive, mais un enjeu fondamental de droits humains qui nécessite une attention urgente et une action collective.
— Arménie Info