Henrikh Mkhitaryan, ancien capitaine de l’équipe nationale d’Arménie et milieu de terrain de l’Inter Milan, a répondu aux questions de l’agence de presse Armenpress après la défaite de son équipe contre Liverpool (0-1) lors de la sixième journée de la Ligue des champions.

– Bonjour Henrikh. Comment ça va ? C’était une défaite douloureuse, n’est-ce pas…

– Bonjour. Vous voyez comment je me sens (il sourit et montre les journalistes et les caméras). Combien de questions avez-vous prévu aujourd’hui ? Je ne pourrai pas parler longtemps.

– Je promets de ne pas vous retenir trop longtemps. Essayons de nous limiter à trois questions alors.

Après ce bref échange, Armenpress a posé plusieurs questions à Mkhitaryan.

– La première question concerne le match Inter – Liverpool. C’était votre premier match dans le onze de départ après votre blessure. Vous avez joué plus de 80 minutes sur le terrain. Comment vous sentez-vous physiquement et comment vous adaptez-vous au rythme intense du jeu ?

– Je me sens bien. Bien sûr, j’aurais pu me sentir mieux. C’est vrai qu’un mois m’a un peu retardé physiquement, mais j’ai essayé de ressentir le rythme du jeu lors des deux derniers matchs, de jouer et de me renforcer physiquement (il fait référence aux 45 minutes de la seconde mi-temps contre Venise et aux 20 minutes contre Como). Aujourd’hui, j’ai essayé d’aider l’équipe, ce qui n’était pas facile, car c’était un match de très haut niveau et le rythme était également élevé. Après une blessure, il est un peu difficile de participer immédiatement à un tel match. Même dans ces conditions, j’ai essayé de faire tout ce que je pouvais pour aider l’équipe et bien performer. C’est vrai que nous n’aurions pas dû perdre aujourd’hui. Je ne sais pas d’où l’arbitre a pris l’idée de siffler un penalty. Il n’y avait pas de faute dans cette situation. Mais c’est le football, et il faut regarder vers l’avenir, se préparer et essayer de changer pour obtenir de meilleurs résultats à l’avenir.

– Henrikh, ma prochaine question concerne la version arménienne de votre autobiographie et sa présentation. Elle n’est disponible qu’en italien. Quand peut-on s’attendre à la version en arménien ?

– Elle sera bientôt publiée en arménien également. Je ne peux pas donner de date précise aujourd’hui, mais la version en arménien sera disponible d’ici février 2026. J’espère qu’elle plaira aux lecteurs et sera un livre instructif, car les jeunes pourront lire et apprendre beaucoup de choses. Ils pourront apprendre non pas parce que le livre parle de moi, mais simplement parce que j’y montre les difficultés à surmonter pour atteindre ses rêves.

– Une précision ici. Je vous prie de ne pas considérer cela comme la troisième question. Est-il possible que la présentation de la version arménienne de l’autobiographie ait lieu le jour de votre anniversaire (le 21 janvier) ?

– Non. Nous n’avons pas prévu cela. Il n’y aura pas de tel événement.

– Ma dernière question concerne votre contrat actuel avec l’Inter (qui se termine à la fin de la saison en cours, en juin 2026). Vous vous souvenez qu’au début de cette année, nous avions parlé et vous aviez mentionné que si vous jouiez un certain nombre de matchs, il pourrait être automatiquement prolongé d’une saison supplémentaire. Quelles sont les nouvelles à ce sujet ?

– Pour le moment, je n’ai pas de nouvelles. J’ai un contrat en cours jusqu’à l’été. Il reste encore du temps. Si la direction du club estime qu’il est temps de discuter d’une prolongation de contrat, nous en parlerons. Si elle estime qu’il n’est pas nécessaire d’en discuter, alors il n’y aura pas de nouveau contrat. À ce moment-là, nous comprendrons ce que nous pouvons faire.

– Mais êtes-vous physiquement prêt pour une autre saison…

– Je suis physiquement prêt, bien sûr. C’était la cinquième question, n’est-ce pas… (il sourit) Merci.

— Arménie Info

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