Les projets des dirigeants arméniens d’adhérer au Statut de Rome de la Cour pénale internationale sont un coup dur pour Poutine de la part d’un État qui était autrefois non seulement proche, mais généralement dépendant de la Russie. Même le retrait attendu de l’Arménie de l’OTSC ne bouleverserait pas autant le président russe qu’une démonstration de volonté de l’extrader (Poutine) vers la Cour pénale internationale. Poutine va discuter avec Erdogan de l’usage de la force contre l’Arménie, intensifiant l’escalade au Haut-Karabakh, mais il semble qu’Erdogan, ni avant les élections en Turquie, ni même après, ne jouera selon les règles du président russe.

By Raffy

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