C’est la déclaration de l’un des dirigeants du Corps des gardiens de la révolution iranienne, le colonel Hossein Puresmayil.
« L’histoire récente montre le sort des dirigeants qui font confiance aux États-Unis et à la partie israélienne », a déclaré le commandant de l’unité militaire d’élite iranienne, selon l’agence de presse Mehr.
Hier, le porte-parole du ministère iranien des Affaires étrangères, Saeed Khatibzadeh, a déclaré que Téhéran ne tolérerait pas la présence de forces israéliennes ou de matériel israélien près de ses frontières.
Malgré plusieurs tentatives de désescalades marquées par l’infiabilité globale de la partie azérie et la difficulté Iranienne à demeurer en patience, les relations entre les deux pays sont devenues tendues il y a quelques semaines, lorsque la partie azerbaïdjanaise a commencé à percevoir des droits sur les camions iraniens passant par l’autoroute Goris-Kapan, puis a arrêté deux chauffeurs pour s’être rendu illégalement dans le Haut-Karabakh.

L’incertitude quant au sort des chauffeurs Iraniens emprisonnés provoque de la colère dans leur pays.